Articles pour comprendre le québécois

T’sé veux dire

Plusieurs Québécois utilisent les locutions «t’sé» ou «t’sé veut dire». Ces locutions contractées synonymes de «tu sais» et de «tu sais ce que je veux dire» servent surtout à ponctuer le discours, à établir un lien avec un interlocuteur.

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Passer dans le beurre

Dans la Presse +, la journaliste Stéphanie Grammond a écrit : … des crédits, des bonds, des allocations qui passent carrément dans le beurre…
L’expression «passer dans le beurre» est synonyme de passer inaperçue, passer dans le vide. La journaliste a donc utilisé cette expression imagée pour dire que ces crédits sont inutilisés et qu’ils ne profitent à personne.

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Le rêve fly et la réalité jamme

Dans cette publicité télévisée, l’humoriste André Sauvé dit : «… de la manière que c’est fait, on dirait que le rêve fly et que la réalité jamme.» Venez découvrir le sens de ces deux verbes franglais.

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Je suis fourré

Au Québec, le verbe fourrer possède plusieurs significations très différentes les unes des autres. Certaines sont amusantes, d’autres sont carrément vulgaires et toutes appartiennent à la langue familière. Ce large éventail de sens explique pourquoi ce verbe déroute tant les non-Québécois.

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Ça m’a pogné au cœur

Il existe de nombreuses variations de la locution «ça m’a pogné». D’abord, il faut savoir que le verbe«pogner» est synonyme de prendre, saisir, attraper. L’expression «ça m’a pogné au cœur» veut dire ça m’a touché, ému ou bouleversé.

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Elle ne marchait pas sans sa marchette

Nous vous présentons trois extraits de journaux pour vous aider à comprendre les mots et les expressions québécoises. Vous découvrirez les sens du mot «marchette», du verbe «crinquer» et de l’expression «Virer sur un dix cents».

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La ministre et les poqués

«La ministre et les poqués» : ce titre d’un article paru dans le journal La Presse est un bel exemple de la langue québécoise. Dans ce contexte, le mot «poqués» décrit des personnes mal en point, meurtries par la vie, les laissés pour compte de la société. De plus, nous féminisons les noms des fonctions.

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