25 expressions québécoises drôles à découvrir

Nous vous présentons une collection des 25 expressions les plus drôles du Québec, accompagnées d’explications, d’exemples et de liens vers des articles plus détaillés.

Venez découvrir la richesse et l’humour de la langue québécoise.

1 — S’enfarger dans les fleurs du tapis

L’expression s’enfarger dans les fleurs du tapis signifie « se laisser arrêter par de petits obstacles ou par des détails insignifiants ».

Pour bien comprendre cette expression, il faut savoir que le verbe s’enfarger est synonyme de « perdre l’équilibre, trébucher » ou « buter sur un objet ».

Exemple :

— Enfin, nous avons un maire qui ne s’enfarge pas dans les fleurs du tapis. Il a donné le « go » pour lancer notre projet de ville fleurie.

Si nous voulons enfarger quelqu’un, est-ce que nous pouvons lui faire une jambette ? Pour connaître la réponse à cette devinette, vous n’avez qu’à consulter l’article S’enfarger dans les fleurs du tapis.

2 — Passer la nuit sur la corde à linge

L’expression passer la nuit sur la corde à linge signifie « avoir très mal ou très peu dormi » ou « ne pas avoir dormi du tout ».

Illustration de l'expression québécoise « passer la nuit sur la corde à linge ». Un homme dort, accroché à une corde à linge au milieu de ses vêtements, en pleine nuit.

Exemple :

— Jules avait l’air d’avoir passé la nuit sur la corde à linge lorsqu’il s’est présenté à son entrevue d’embauche. Il était dépeigné (décoiffé) et sa cravate était toute croche (de travers). Il a donc été surpris d’obtenir l’emploi.

Consultez l’article Passer la nuit sur la corde à linge pour découvrir les sens du verbe corder et de l’expression donner de la corde à quelqu’un.

3 — Frapper son Waterloo

L’expression frapper son Waterloo signifie « essuyer un échec retentissant, subir une défaite cuisante ».

Cette expression ne vient pas de France, comme de nombreux Québécois le pensent. Elle tire plutôt son origine du monde anglo-saxon. En effet, c’est une traduction de to meet one’s Waterloo.

Frapper son Waterloo

Exemple :

— Avec le Brexit, ce sont peut-être les Anglais qui vont frapper leur Waterloo.

Est-ce que les expressions frapper son Waterloo et frapper un nœud sont synonymes? Pour découvrir la réponse, consultez l’article Frapper son Waterloo.

4 — Le boss des bécosses

L’expression boss des bécosses décrit une personne détestable qui abuse de son autorité même si elle n’occupe qu’une position hiérarchique modeste.

Le mot bécosse est une déformation de la locution anglaise back house, qui se traduit par « maison à l’arrière ». Ce terme désignait autrefois les latrines extérieures.

Un petit boss des bécosses, c'est un petit chef détestable qui utilise son petit pouvoir pour écraser les autres.
Notre nouveau superviseur, c’est un vrai petit boss des bécosses. Il me fait chier !

Exemple :

— Il a suffi que Jules obtienne une toute petite promotion pour qu’il se transforme en boss des bécosses.

Nous employons parfois la variante « le petit boss des bécosses ».

Pour approfondir votre connaissance sur ce petit personnage désagréable que nous avons tous eu un jour le malheur de croiser, nous vous invitons à lire l’article détaillé qui lui est consacré : Le petit boss des bécosses.

5 — Pelleter des nuages

L’amusante expression pelleter des nuages signifie « faire des projets sans tenir compte de la réalité, se lancer dans des aventures en faisant fi des contraintes, perdre son temps à élaborer des projets irréalisables ».

L'expression «pelleter des nuages» signifie rêver sans tenir compte de la réalité.
Jules est très sympathique, mais il faut faire attention à ses promesses. Il ne fait que pelleter des nuages.

Exemple :

— Mon fils Jules ne fait que pelleter des nuages. Je me sens coupable. Je l’ai trop couvé.

Nous disons aussi « pelleteux de nuages » pour décrire une personne qui passe sa vie à caresser des chimères.

Est-ce que pelleter de la boucane est synonyme de pelleter des nuages? Pour découvrir la réponse, vous n’avez qu’à consulter l’article Pelleter des nuages.

6 — Fucker le chien

L’expression fucker le chien, ou fourrer le chien, en surprend plus d’un. Heureusement, son sens est fort éloigné de ce qu’on peut déduire la première fois qu’on l’entend. En effet, fucker le chien signifie simplement « perdre son temps à faire quelque chose, avoir du mal à accomplir une tâche, déployer des efforts inutiles ».

Exemple :

— J’ai fucké le chien tout l’après-midi en essayant de faire les mises à jour sur mon ordinateur. Des fois (parfois), je m’ennuie du temps des bonnes vieilles machines à écrire.

Connaissez-vous la différence entre avoir la chienne et avoir du chien? Pour connaître la réponse, consultez l’article Le chien dans la langue québécoise.

7 — Patente à gosses

L’expression patente à gosses décrit un objet qui fonctionne mal, un assemblage bizarre, une structure déficiente.

Dans cette expression, le mot gosse ne signifie pas « enfant », comme en France, ni « testicule », comme au Québec. Dans ce contexte, c’est un dérivé du verbe gosser, synonyme de « essayer de réparer quelque chose sans vraiment réussir ». L’emploi du verbe gosser sous-entend habituellement un échec ou un résultat approximatif.

Exemple :

— À force de faire des compromis, les élus municipaux ont accouché d’une maudite patente à gosses qui déplaît à tout le monde et qui ne fonctionne pas. Un vrai bordel!

Alors que patente à gosses possède une connotation négative, le mot patente employé seul a souvent un sens positif. Pour mieux comprendre ces nuances, venez découvrir l’article C’est quoi la patente ?

8 — Avoir des croûtes à manger

L’expression québécoise avoir des croûtes à manger signifie « devoir acquérir de l’expérience avant de se prétendre expert dans un domaine, avoir beaucoup de choses à apprendre, avoir du chemin à faire avant d’obtenir du succès ».

Exemple :

— En fin de semaine (ce week-end), j’ai essayé de faire du pain… Rien n’a levé. J’ai encore bien des croûtes à manger avant d’être un bon boulanger.

Vous avez encore des croûtes à manger avant de comprendre les subtilités de la langue québécoise? Venez approfondir vos connaissances en lisant l’article Avoir des croûtes à manger.

9 — Attache ta tuque… avec de la broche

L’expression bien québécoise attache ta tuque signifie « attention, ça va décoiffer ».

Pour mieux en saisir le sens, il faut savoir qu’une tuque est un bonnet de laine, parfois surmonté d’un pompon, une pièce de vêtement essentiel pour que nos oreilles survivent à notre climat nordique.

Le port de la tuque n’est pas obligatoire pour employer cette expression.

Un homme dévalant en montagne en luge sert l'expression «attache ta tuque».

Exemple :

Attache ta tuque avec de la broche, on s’en va à Hawaï pour une compétition de surf.

Nous pouvons aussi bien utiliser la version courte, attache ta tuque, que la version longue, attache ta tuque avec de la broche. Pour bien comprendre la version longue, il faut savoir qu’au Québec, le mot broche est synonyme de « tige métallique » ou d’« agrafe ».

Est-ce que les anglophones du Canada utilisent le mot tuque ou le mot toque? Pour connaître la réponse, consultez l’article Attache ta tuque avec de la broche.

10 — Avoir de la broue dans le toupet

L’expression avoir de la broue dans le toupet signifie « être débordé, être très pressé, travailler fort, être excité, agité ».

Pour comprendre cette expression imagée, il faut savoir que le mot broue, tiré de l’anglais brew, peut vouloir dire « bière », « mousse » ou « écume ». Cette expression sert donc à décrire un état d’agitation, de fébrilité.

Avoir de la broue dans le toupet : expression québécoise

Exemple :

— Après le confinement, mes élèves avaient de la broue dans le toupet. C’est encore tout un défi de faire respecter les consignes.

Est-ce que les expressions avoir de la broue dans le toupet et péter de la broue sont synonymes?

Pour connaître la réponse, consultez l’article Trois versions du mot broue.

11 — Se péter les bretelles

L’expression se péter les bretelles signifie « se vanter, afficher de l’autosatisfaction avec ostentation ».

L'expression québécoise «se péter les bretelles » signifie se vanter, faire le fanfaron en français québécois.
Crédit photo : Cyanotype, via Wikimedia Commons

Exemples :

— Après sa victoire, Jules se pétait les bretelles devant ceux qu’il venait de battre. Il est tellement mauvais gagnant!

Nous utilisons aussi cette expression à la forme négative afin d’exprimer une critique, une déception ou une frustration.

— Il n’y a vraiment pas de quoi se péter les bretelles lorsqu’on regarde l’état de nos routes.

Est-ce que les expressions se péter les bretelles et péter plus haut que le trou sont synonymes? Pour connaître la réponse, consultez l’article Se péter les bretelles.

12 — Être habillé comme la chienne à Jacques

L’amusante expression être habillé comme la chienne à Jacques signifie « être très mal habillé, être vêtu de façon négligée ou extravagante ».

Un chien est habillé avec une robe et des chaussures, une photo pour illustrer l'expression être habillée comme la chienne à Jacques, synonyme d'être habillé de façon négligée ou de porter des vêtements inappropriés.
« Être habillé comme la chienne à Jacques » est une expression inclusive. Elle s’applique aussi bien aux femmes qu’aux hommes.

Exemple :

— J’ignore si Julie n’a aucune fierté ou si elle a très mauvais goût, mais elle s’habille toujours comme la chienne à Jacques.

Cette expression existe sous plusieurs formes : arrangé, habillé, attriqué ou attifé comme la chienne à Jacques.

Pour découvrir qui est le mystérieux Jacques de cette expression, nous vous invitons à lire l’article Être habillé comme la chienne à Jacques.

13 — Vendre un frigidaire à un Esquimau

L’expression vendre un frigidaire à un Esquimau sert à décrire les talents de vendeur d’une personne, son habileté à convaincre, son bagout d’enfer.

L’expression vendre un frigidaire à un Eskimo signifie avoir de grands talents de vendeur.
Rien n’arrête Jules. Il vendrait un frigidaire à un Eskimo !

Exemple :

— Avec son charme fou, Jules vendrait un frigidaire à un Esquimau. Ce n’est donc pas surprenant qu’il fasse plus d’argent à vendre des chars usagés (voitures d’occasion) qu’à travailler comme comptable dans une entreprise.

Au Québec, nous utilisons beaucoup la marque de commerce Frigidaire comme synonyme de « réfrigérateur ». Il nous arrive donc d’acheter des frigidaires de marque LG.

À noter que le terme Esquimau disparaît de l’usage au profit du mot Inuit, plus respectueux de la réalité. Mais le mot Esquimau tend à survivre dans cette expression.

Saviez-vous que les bâtonnets de crème glacée enrobée de chocolat se nomment Eskimo au Canada et Esquimau en France? Pour approfondir votre connaissance des mots esquimau et inuit, nous vous invitons à lire l’article Vendre un frigidaire à un esquimau.

14 — Cogner des clous

L’expression cogner des clous décrit l’action de dodeliner de la tête lorsqu’on combat le sommeil en position assise.

Exemple :

— Je n’ai jamais été aussi stressé que la fois où j’ai remarqué que le pilote d’avion cognait des clous. C’est paradoxal, mais ça m’a réveillé d’un coup.

Est-ce qu’il existe une similitude de sens entre les expressions cogner des clous et être cassé comme un clou? Pour connaître la réponse, vous n’avez qu’à consulter l’article Le clou dans les expressions québécoises.

15 — Les bottines doivent suivre les babines

L’expression les bottines doivent suivre les babines signifie « les actions doivent suivre les paroles ; les mots ne suffisent pas, il faut passer à l’action ». Les pieds (chaussés de bottines) doivent donc suivre les lèvres (babines).

Exemple :

— J’ai été surpris de voir le ministre tenir parole. C’est rare que ses bottines suivent ses babines.

Pour vous familiariser avec toutes les nuances de cette amusante expression, n’hésitez pas à consulter l’article Les bottines doivent suivre les babines.

16 — Avoir les yeux dans la graisse de bine

L’expression avoir les yeux dans la graisse de bines signifie « avoir le regard altéré par la fatigue, l’alcool, etc. »

Cette expression fait référence aux bines qui flottent dans la graisse de cuisson. Et les bines québécoises sont des haricots, des fèves. Le mot bine est une déformation francisée du mot anglais bean.

Exemple :

— Samedi matin à 6 heures. Je donnais un cours de cuisine à des adolescents de 17 ans. C’était beaucoup trop tôt pour eux. Ils avaient tous les yeux dans la graisse de bines.

Le mot bine ne veut pas seulement dire « haricot ». Pour découvrir ses autres sens, lisez l’article Les fameuses bines québécoises.

17 — Avoir une montée de lait

L’expression québécoise avoir une montée de lait signifie « avoir un accès de mauvaise humeur (habituellement sans justification réelle), exprimer son indignation ou s’énerver fortement ».

Exemple :

—Il y a cinq ans, j’ai eu une petite montée de lait devant les journalistes et on me présente encore comme un politicien qui ne sait pas se contrôler.

Cette expression tire probablement son origine du lait qui déborde rapidement de la casserole quand on le chauffe, et non pas des montées de lait des femmes qui allaitent.

Est-ce que du brasse-camarade peut entraîner une montée de lait? Pour connaître la réponse, nous vous invitons à lire l’article Une montée de lait.

18 — Tire-toi une bûche

L’expression tire-toi une bûche est utilisée pour inviter une personne à prendre une chaise pour se joindre au groupe ou à s’installer à la table avec les autres invités.

Cette expression tirerait son origine du début de la colonie, lorsque les habitants de la Nouvelle-France ne possédaient que très peu de meubles. Les chaises n’étaient alors que des bouts de troncs d’arbres coupés.

Allez, tire-toi une bûche, dit Jules le Québécois à son cousin français.

Exemple :

— Allez, tire-toi une bûche, ne reste pas là dans le cadre de porte.

Pour connaître la différence entre se tirer une bûche et avoir la tête sur la bûche, consultez l’article Tire-toi une bûche.

19 — Avoir la couenne dure

L’expression avoir la couenne dure signifie « avoir les nerfs solides, être coriace, être endurci, être résistant ». Dans certains cas, elle est synonyme de « résilience ».

Pour bien comprendre le sens d’avoir la couenne dure, il faut savoir qu’au Québec, nous utilisons parfois le mot couenne comme synonyme de « peau humaine ».

Exemple :

— Je voulais faire carrière dans les arts, mais je n’ai pas la couenne assez dure pour encaisser toutes les critiques. Les réseaux sociaux sont trop brutaux. J’en perdais le sommeil. 

Est-ce que pour avoir la couenne dure, il faut d’abord se faire chauffer la couenne ? Pour le savoir, il faut simplement consulter l’article : Avoir la couenne dure.

20 — Avoir de la misère

La populaire expression québécoise avoir de la misère est synonyme d’« éprouver de la difficulté à accomplir une tâche, à terminer une activité ».

Exemples :

— Je savais que j’aurais de la misère à me faire comprendre en France à cause de mon accent, mais je ne m’attendais pas à tout répéter trois ou quatre fois. J’étais à bout de synonymes. J’ai développé mes talents de mime.

L’expression avoir de la misère est aussi utilisée comme synonyme de « peiner à » ou de « avoir du mal à ».

— J’ai de la misère à croire à tes histoires. C’est trop absurde pour être vrai.

Pour en apprendre plus sur cette expression et ses variantes, comme manger de la misère, consultez l’article J’ai donc de la misère.

21 — Se faire passer un sapin

L’expression se faire passer un sapin signifie « se faire avoir, se faire duper, se faire tromper ».

Exemple :

— Chaque fois que je signe un contrat, j’ai l’impression que je me fais passer un sapin.

Cette expression remonterait à l’époque où des personnes malhonnêtes vendaient du bois de sapin baumier, commun au Québec, mais de très faible valeur, en le faisant passer pour du bois de pin ou d’épinette (épicéa), des essences de meilleure qualité.

Est-ce que vous êtes tanné de vous faire passer un sapin? Pour connaître le sens de tanner, consultez l’article Se faire passer un sapin.

22 — Avoir le piton collé

L’expression avoir le piton collé signifie « être pris d’un fou rire incontrôlable, être incapable d’arrêter de rire ».

Exemple :

Pour comprendre cette expression, il faut savoir qu’un piton peut être une touche qui sert à actionner un mécanisme, un bouton. Avoir le piton collé c’est donc avoir le « mécanisme » coincé sur le mode rire.

J’ai eu le piton collé durant toute la présentation de mon boss. Je ne sais pas si j’aurai encore un emploi demain.

Est-ce qu’être vite sur le piton signifie rire facilement? Pour connaître la réponse, consultez l’article Le piton tout usage.

23 — Être gelé comme une crotte

L’expression être gelé comme une crotte signifie « être transi de froid, être gelé jusqu’aux os ».

Exemple :

— Au Carnaval de Québec, on reconnaissait les touristes américains au premier coup d’œil. Ils étaient tous gelés comme des crottes.

Par contre, être gelé, sans l’extension comme une crotte, peut signifier « être sous l’influence de la drogue », alors qu’être chaud veut dire « être sous l’influence de l’alcool ».

Pour en apprendre plus sur les subtilités du verbe geler, nous vous invitons à lire l’article Geler comme une crotte.

24 — Un deux de pique

L’expression deux de pique sert à décrire quelqu’un d’incompétent, de peu doué.

Le deux de pique est la carte à jouer qui possède le moins de valeur.

Illustration de l'expression québécoise « un deux de pique »

Exemple :

— Mon concessionnaire automobile n’engage que des deux de pique comme mécaniciens. Ils ne réussissent jamais à réparer ma voiture du premier coup. Il faut toujours que j’y retourne trois ou quatre fois.

Est-ce ce qu’un deux de pique est toujours poche? Pour connaître la réponse, consultez l’article Être un deux de pique ou être poche.

25 — C’est tiguidou laï laï

La mystérieuse expression tiguidou laï laï signifie simplement « c’est excellent, c’est parfait, c’est très bien ».

Exemple :

— Tout est tiguidou. Mille mercis.

Nous pouvons aussi bien dire « tiguidou » que « tiguidou laï laï ». Les deux versions sont synonymes.

L’extension laï laï n’ajoute qu’une sonorité amusante qui rend l’adverbe tiguidou encore plus chantant.

Est-ce que tiguidou a une origine française ou anglaise? Pour connaître la réponse, consultez l’article Le sens de tiguidou.

Sommaire des 25 expressions québécoises drôles

1 —  S’enfarger dans les fleurs du tapis

2 — Passer la nuit sur la corde à linge

3 — Frapper son Waterloo

4 — Le boss des bécosses

5 — Pelleter des nuages

6 — Fucker le chien

7 — Patente à gosses

8 — Avoir des croûtes à manger

9 — Attache ta tuque… avec de la broche

10 — Avoir de la broue dans le toupet

11 — Se péter les bretelles

12 — Être habillé comme la chienne à Jacques

13 — Vendre un frigidaire à un Esquimau

14 — Cogner des clous

15 — Les bottines doivent suivre les babines

16 — Avoir les yeux dans la graisse de bine

17 — Avoir une montée de lait

18 — Tire-toi une bûche

19 — Avoir la couenne dure

20 — Avoir de la misère

21 — Se faire passer un sapin

22 — Avoir le piton collé

23 — Être gelé comme une crotte

24 — Un deux de pique

25 — C’est tiguidou laï laï

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